Matériel de communication par Sections
Nous sommes là parce-que nous avons le sentiment que personne ne fait rien pour nous et qu'il ne se passe rien.
Et vraisemblablement, cela ne changera pas si nous continuons à attendre sans rien faire. Il faut donc que nous le fassions nous-même.
Vous aussi, imprimez et allez afficher, tracter, et sensibilisez votre entourage.
Exprimez-vous, défendez-vous ! Imprimez les affiches et tracts, et envoyez-les aux acteurs locaux concernés pour leur rappeler leurs responsabilités.
Plus d'impunité, il faut qu'ils sachent qu'ils ont des responsabilités. Soyez leur piqûre de rappel, faites leur un courrier, ou déposez les dans leurs boites aux lettres !
L'ensemble des tracts et prospectus sont disponibles ici :
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Rubrique Experts
Les principaux responsables des statistiques discriminatoires pour les papas dans la justice familiale sont les experts.
En effet, si les juges penchent massivement en faveurs des mères dans leurs jugements, c'est aussi et surtout parceque l'ensemble des documents et pièces qui leurs parviennent vont quasiment tous dans la même direction.
La loi demande pourtant aux experts d’être impartial, de ne répondre qu’aux questions posées, de joindre les remarques écrites qui leur sont notifiées, et de ne pas travailler ensemble entre experts.
La pratique nous force à constater de multiples copiés/collés, des temps d'entretiens extrêmement réduits (quand ils existent), et surtout des rapports biaisés à la base des statistiques défavorables aux pères (7% des droits de garde en situation conflictuelle).
Surtout, il leur est interdit de faire des prescriptions juridiques, car le juge a interdiction de déléguer sa prise de décision : ce dernier point est quasiment systématiquement transgressé, ce qui permet au juge de s'appuyer sur des avis tierces et donc de se défausser de la responsabilité de ses décisions dans ses ordonnances.
Le pire étant que vos réponses et protestations à ces rapports ne seront jamais pris en compte (ni même lus), et que vous les retrouverez ensuite cités dans vos jugements : ceux-ci s’empilant au fur et à mesure des procédures, les mensonges ou erreurs citées préalablement deviennent « vrais », et vous ne pouvez plus rien y faire.
Cerise sur le gateaux : si vos revenus sont suffisants, c'est vous qui devrez payer vos experts, même si l'on vous les impose !
Dans le cadre de la justice familiale, ces experts sont au nombre de trois :
- Les Enquêtrices Sociales : Majoritairement féminines, leurs rapports penchent statistiquement en faveur des mères.
Le plus souvent ex-assistantes sociales, elles ne contrediront jamais les services sociaux dont elles faisaient partie auparavant ;
elles sont même souvent convaincues que c’est là-bas que les enfants seraient le mieux
(il est courant qu'elles y croisent d'anciennes collègues lors de leurs « investigations »).
Elles font commerce à plein temps de cette activité, les conflits familiaux sont leur source de revenus : leur intérêt n’est donc pas de travailler d’une manière pouvant entraîner la décroissance de leur secteur d’activité.
Mais comme il y a de la demande et qu'il faut faire du chiffre, les soit-disantes enquêtes sont le plus souvent réduites à la portion congrue : il faut enchaîner, et aller vite.
Ces « enquêtes » se limitent d'ailleurs bien souvent à aller chercher les revenus que le père pourrait reverser à la mère, tout en listant tous les soucis personnels que celui-ci a pu rencontrer au cours de son existence pour les utiliser comme éléments justifiants que les enfants doivent systématiquement rester uniquement avec la maman :
Monsieur doit donc montrer son argent, raconter ses misères passées, et surtout se taire quand on ne lui parle pas.
Certaines de ces « enquêtrices » sont même politisées ou impliquées dans des associations militantes sur des sujets sociétaux défavorables aux pères ou opposés à la famille traditionnelle, ce que personne n’a jamais pensé à vérifier ou à interdire légalement.
- Les Psychologues : En quête de crédibilité professionnelle et sociétale, ils ont bien conscience que l’institution judiciaire reste leur principal employeur et source de débouchés professionnels.
Il est donc hors de question de critiquer celle-ci, ni d’aller à contre-courant des tendances.
L’enfant restera avec la maman, point final : si Monsieur insiste, c’est qu’il entretient une « Relation Objet » et s’il s’inquiète, c’est qu’il est « Paranoïaque ».
Tout comportement maternel chez le père est « Pathologique », car « Anormal » et « Inhabituel ».
Par contre, ils sont très fiers que l’on fasse appel à eux, et font ressentir à leurs interlocuteurs ce statut social un peu spécial qu’on leur a confié.
Les contraintes légales ne les concernent d’ailleurs pas, la vérité non plus, et ils sont prêt à tout pour venir montrer qu’ils sont indispensables (quitte à le faire sans s’inscrire sur les fichiers et donc sans avoir l’autorisation d’exercer).
- Les Psychiatres : Ces professionnels de santé sont instrumentalisés par la justice et chargés de dire en moins d’une heure si vous aurez le droit de voir (un peu) vos enfants.
Leurs rapports sont d'ailleurs souvent tellement sulfureux que quasiment aucun collègue praticien « non expert » n’accepte de les contester, voire-même d’évaluer la personne ayant été expertisée : essayez de contacter un psychiatre exerçant en libéral pour lui demander de contester un rapport d'expertise ou au minimum de le vérifier, celui-ci refusera 9 fois sur 10 de vous rencontrer.
La plupart des psychiatres pratiquant dans la société civile rechignent au rôle d'expert pour les tribunaux familiaux car ils en méprisent l’exercice et le trouvent peu rémunéré. Ces rapports d’entretiens (1 heure) sont donc le plus souvent extrêmement longs à obtenir. Incidence, ils sont généralement effectués par des professionnels ayant des convictions idéologiques (les autres refusant de le faire).
Oui, c’est vrai, ils ne sont heureusement pas tous ainsi... Mais que cela ne vous empêche pas d'aller présenter vos sentiments à ceux qui le sont, en leur envoyant les affiches et tracts ci-dessous !
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